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Toutes les notes sont de 2012.
[01] Le regretté Thierry Hentsch, prof de science po à l’Uqam.
[02] … de théâtre.
[03] Émission no 268, en novembre 2010. J’expliquais qu’un des commentaires les plus fréquents que je recevais – de la part de jeunes – c’était : « Ôte-toi de là ! Ici, tout ce qui est accepté sur la place publique est corrompu. »
[04] Si articulée soit-elle.
[05] Quelque déplorable qu’on puisse (ou non) la trouver.
[06] Je vomis… ce qu’il me reste à vomir après tant d’années vomitives, en tout cas. Et j’ai bien peur que ce ne soit pas de masses : la demande a été forte en chien.
[07] À moins, bien entendu, de n’avoir rien d’autre à dire dans les circonstances que parce qu’on n’a, tout bonnement, rien d’autre à dire dans la vie. Ce qui, comme je viens de l’expliquer, est une éventualité qui me fait vomir. Qu’il soit donc bien entendu que je ne reviendrai plus sur elle.
[08] Si tu dépens entièrement de celui d’en face…. qu’est-ce que tu fais s’il change de cap ?
[09] Ce n’est pas du tout un reproche, c’est un simple constat. Qui tient à leur nature même : ils ne sont pas là pour engendrer, ils sont là pour faire écho.
[10] Cette pensée originale, si elle existait, devrait, oui, obligatoirement, cela coule de source, s’exprimer à l’extérieur d’un « non, non, non ». Parce que, quelque brillante qu’elle puisse être, si on n’avait recours à elle que pour étayer une position qui se résumerait en fait par une litanie de « non, non, non », elle serait immédiatement ramenée par les médias à une simple variation sur le thème (ce que de fait elle serait) et tout aussi immédiatement évacuée.
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