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[I] Voir, dans le billet La Tempête déferle (2/3), la présentation des recommandations du Rapport Allaire du Parti libéral du Québec, et de leur rôle dans le discours prétendant justifier la soi-disant politique culturelle.
Toutes les notes suivantes sont de 1991 :
[01] Chez certains seulement, puisqu’il existe dans le monde des arts, il existe déjà, d’excellents administrateurs dont le défaut principal se résume à ne pouvoir exercer leur talent que sur des sommes dérisoires. Ces sommes, ce qu’elles sont ni ce qu’elles pourraient être, ne se trouvent nulle part mentionnées dans cette Étude ni même la question d’elles abordée.
– Mangez, mangez, nous dit le bon Prince, et n’oubliez pas de nourrir le marmiton.
– Mais Prince, nos assiettes sont vides.
– Taisez-vous et mangez !
[Note de 2017 : Toute ressemblance entre la métaphore du marmiton et celle de la chasse au yak, dans La madame et les Goudougoudous, ne saurait être le fruit que d’un pur hasard.]
[02] Nous ne souhaitons pas impliquer par nos propos que l’amour serait peu de chose. Nous indiquons seulement que, dans les circonstances qui nous intéressent ici, en regard du trouble dans lequel est plongé H, du doute qui l’habite sur la bonté de la nature humaine et sur la réalité des vertus, la pensée de l’amour, voire l’amour lui-même, ne constitue qu’une préoccupation subsidiaire, et encore…, du moins dans les trois premiers quarts de la pièce.
[03] On pourrait aussi ajouter la « Méga-bovaryte perverse (à déclamation spasmodique…) », à laquelle un texte sera un jour, peut-être, consacré.
[04] Diathèse: disposition générale d’une personne à être atteinte, simultanément ou successivement, par des affections présumées de même origine, mais avec des manifestations différentes. (Le Petit Robert, édition de 1979.)
[05] Bien sûr, « le Prince », dans la plupart de nos sociétés contemporaines, constitue une métaphore. Il n’est ni le cœur ni la tête de l’État (Voir Umberto Eco, La guerre du faux), mais simplement le signe de la cohérence des valeurs dominantes dans l’appareil de cet État (cette cohérence pouvant fort bien, d’ailleurs, être celle d’une promotion de l’in-cohérence).
[06] « Le bruxisme, ou bruxomanie, est caractérisé par des grincements de dents involontaires, habituellement nocturnes. » (Sigmund S. Miller, Symptômes et maladies, Éditions Robert Laffont, Paris, 1986, p 111)
[07] En plus du Bruxisme de Lorenzo (qui n’est peut-être qu’une forme parmi d’autres de son mode de propagation), le Syndrome de Polonius peut, chez les proches, induire ou favoriser l’éclosion du “Clivage d’Ophélie”, sentiment que ce que l’on sait, d’une part, et ce qu’on nous enseigne que signifie ce que l’on sait, d’autre part, sont irréconciliables; d’où disruption des facultés cognitives.
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