(Note : Je recommande fortement l’écoute de ces fichiers avec des écouteurs ou un casque.)
Vendredi 29 novembre 2019
Bonjour.
Commençons par mettre la table.
Voici deux tounes magnifiques. Parce que j’ai le goût, tout simplement.
Soyez prévenus : ce petit projet très sommaire… bon, évoque l’état dans lequel je me trouve, bien entendu, mais c’est aussi, au plan technique, un simple brouillon – une manière de me faire la main à deux nouveaux programmes (sono et de montage vidéo) auxquels je compte avoir amplement recours durant les prochains mois.
Bonne écoute (si vous vous y risquez tout de même).
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Même remarque technique que pour le vidéo précédent : ceci est encore un essai.
Alors, comme le auteurs classiques écrivaient aux dédicataires en exergue de leurs œuvres : “Son humble serviteur prie Votre Seigneurie de se montrer indulgente”…
Ce petit montage était à l’origine destiné à faire partie d’une démonstration, dans le cadre d’une série de publications sur ce faux-blogue, et il n’est pas encore exclu qu’il s’y retrouve un jour en effet. Mais je pense qu’il peut aussi fort bien se défendre tout seul. D’où sa présence ici.
Nous disons donc…
Les contes d’Hoffmann, d’Offenbach et Barbier. Acte 1, scène XII : « Voici les valseurs »
La scène : Le poète Hoffmann est amoureux-fou d’Olympia qu’il croit être la fille de monsieur Spalanzani, alors qu’en réalité ce dernier l’a construite : elle est un automate, un robot. La démonstration de valse de sa « fille » devant une ribambelle d’invités de marque se passe à merveille pour Spalanzani jusqu’à ce que, sabotée par un créancier mécontent, Coppélius… elle tombe en morceaux et qu’Hoffmann prenne conscience de sa méprise.
La suite (ou le vrai début), c’est par ici…