La Guerre perdue… — Notes

1 – Allez hop, lançons-nous

[01] http://revuejeu.org/2016/12/14/ne-verrons-theatre/

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2 – Mon histoire commence…

[02] … dont je m’empressai de faire disparaître le “Essai” aussitôt que, quelques années plus tard, j’en devins président.

[03] Jean-Paul L’Allier, ministre des Affaires culturelles, Pour l’évolution de la politique culturelle / Document de travail, mai 1976 – l’emphase sur certains mots est de moi.

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3 – Samson-Bélair… et la métaphore pâtissière

[04] Georges-Émile Lapalme, Pour une politique (Le programme de la Révolution tranquille), VLB Éditeur, 1988

[05] Lettre citée par Adrien Gruslin, Le théâtre et l’État au Québec, VLB Éditeur, 1981.

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5 – Cette fois-ci, nous sommes au début de 1991…

[06] Redevenue de nos jours (2017) tout simplement Frulla.

[07] En tout ou en majorité, me souviens plus trop.

[08] Je fais ici référence au Rapport Allaire, commandé par le Parti libéral du Québec, qui proposait que le gouvernement du Québec récupère la plus grande partie des sommes qu’Ottawa dépensait sur son territoire pour les arts et la culture. Nous y reviendrons sans doute plus tard.

[09] Le gouvernement Johnson venait d’accorder à « Juste pour rire » une aide massive pour l’établissement de son musée.

[10] Les deux gestionnaires responsables de l’étude Samson-Bélair.

[11] Écrit par RDD.

[12] … sur l’avenir constitutionnel du Québec.

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6 – 1991, octobre
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[13] L’Actualité, Vol. 15, no 10, 15 juin 1990, pp. 36 et 37. C’est moi qui souligne.

(2/2)

[14] Ajout – 2017. Épais, j’ai oublié « les médias ».

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7 – Trois mois
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[15] Ne cherchez pas ce que ça veut dire en russe, ce n’en est pas. Il me fallait une phrase qui sonnait comme, et c’est elle qui m’est venue. Ce qu’elle veut dire, c’est ce que vous pensez très exactement qu’elle dit.

(2/3)

[16] Boris Leonidovitch Pasternak, Après l’orage, juillet 1958. Dans Pasternak, Gallimard, coll. La bibliothèque idéale, Paris, 1964, p. 158.

[17] Victor Hugo, Philosophie II : William Shakespeare, Paris, Albin Michel, 1937 – Première partie, Livre premier, chap II, pp 5 et 6. Disponible dans la collection numérique Gallica de la BNF.

[18] Cette chanson et celle de Vissotski : traduction par Hélène Blanc, dans Les auteurs du printemps russe, Éditions Noir sur blanc, Lausanne, 1991.

[19] René-Daniel Dubois, Vestibule, Leméac, 2015, p. 110.

(3/3)

[20] Seules exceptions à cette quatrième règle : ces jours-ci, me préparant à remettre le blogue en ligne, je décide de corriger quelques coquilles, de numéroter les billets et d’en dater l’écriture.

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8 – La tempête déferle, et les réponses aussi
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[21] Dans un billet précédent, j’ai mentionné au passage la critique virulente qui, à Moscou, est servie à Michael Ondaatje sous prétexte qu’il a laissé un de ses romans être porté à l’écran par des Américains. La remarque que je formule ici n’est pas apparentée à cette critique : je ne crois pas qu’il serait « mal » pour des Québécois de travailler en Californie, d’être publié à NYC ou Chicago ou d’avoir une œuvre musicale créée en Arizona – mais je considère extrêmement dommageable de s’imaginer que seul le fait d’être reconnu à l’étranger serait gage de valeur artistique.

[22] Eudore Évanturel, « La Tombe Ignorée », dans Premières poésies –1876-1878, Québec, 1878, Augustin Côté et Cie.

[23] Elle est interviewée par Winston McQuade.

[24] Page 18.

[25] Je me souviens avoir timidement entrepris quelques démarches en vue de rencontrer en tête-à-tête Phyllis Lambert, par exemple, pour lui demander conseil, et puis Adrienne Clarkson, qui a déjà été représentante de l’Ontario à Paris et anime à cette époque Adrienne Clarkson Presents, une remarquable émission culturelle de la télé de la CBC.

[26] René-Daniel Dubois, Le Printemps, monsieur Deslauriers, Guérin Littérature, Collection Tragédie et Quêtes, Montréal, 1987.

(2/3)

[27] Vous en trouverez le texte ici :
https://www.mcc.gouv.qc.ca/fileadmin/documents/publications/politiqueculturelle1992_complet_ROC.pdf

[28] Optique Culture, numéro 38, février 2015 – Publié par l’Observatoire de la culture et des communications du Québec. Institut de la statistique du Québec. http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/culture/bulletins/optique-culture-38.pdf

[29] Laquelle, lorsqu’elle quittera le journalisme, se retrouvera… patronne de la Grande Bibliothèque nouvellement créée. Je dis ça de même, ça n’a stric-te-ment aucun rapport.

[30] Pour les forts en calcul : essayez-vous aussi à redessiner le graphique de l’Institut de la statistique en en soustrayant, les trois premières années, le magnifique cadeau de 19 millions. Ça vous donnera un bel aperçu du trajet de la pomme que Newton a reçue sur la fiole.

[31] C’est à cette proposition de rapatriement que je faisais référence dans mes commentaires au Groupe Arpin, abordés dans le cinquième billet. (Voir note 8, ci-dessus.)

[32] À titre d’exemple. L’année suivante, en 1993, les crédits parlementaires accordés au CAC par Ottawa représentent à eux seuls 108 millions. Disons, au pif, que Québec en récupérerait le quart… eh bien, ça ferait 27 millions et on aurait déjà largement remboursé le cadeau à grelots… rien qu’avec ce segment-là de ce que réclame Québec.
(Source : http://conseildesarts.ca/-/media/Files/CCA/Corporate/Annual-Reports/fr/1992-93-Annual-Report-Rapport-annuel.pdf – p. 27)

(3/3)

Toutes les notes sont de 2017 :

[33] Pierre Rousseau – qui sera plus tard directeur artistique du Théâtre Denise-Pelletier (NCT).

[34] Page 15.

[35] Celui rédigé pour le compte du CQT et remis à la Commission Bélanger-Campeau.

[36] Président de l’Union des Artistes.

[37] Premier ministre de Terre-Neuve, considéré comme l’un des principaux artisans de la défaite de l’Accord du Lac Meech, en 1990 – et, de ce fait, comme un adversaire démoniaque du Québec.

[38] Trudeau-père, bien entendu : Pierre-Elliott.

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 Les Trois Satanées Plaies qui étaient quatre…

[39] Le nombre total de “clics” est trompeur, puisqu’il inclut certaines des visites qu’en cours de construction le créateur du blogue a fait sur sa propre page. C’est pourquoi je me contente de citer des données quotidiennes.

[40] C’est ce que les Grecs de l’ère classique (à ce que j’en comprends) appelaient philotimo – c’est à dire le contraire du militantisme, tout en étant aussi l’opposé de l’égotisme. Voir : http://www.bbc.com/travel/story/20170605-the-greek-word-that-cant-be-translated et https://www.psychologytoday.com/blog/let-their-words-do-the-talking/201508/philotimo-greek-word-without-meaning-very-meaningful et http://www.helleniccomserve.com/filotimo.html

[41] L’étonnant petit livre Don’t, dont j’ai découvert il y a plusieurs années un fac-similé à la boutique de la British Library, a d’abord été publié à Londres vers 1880, par un individu bourré de bonnes intentions et qui se faisait appeler “Censor” (ça commence bien). Rédigé à l’intention des Américains visitant les îles britanniques, il renferme, sur une centaine de pages, une liste de choses à NE PAS faire si l’on veut éviter de passer pour un malappris… à table, dans sa manière de se vêtir, au salon, en public, lors de discours que l’on peut être appelé à prononcer, et dans la vie en général.

[42] http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/bouchard-telesphore-damien-2193/biographie.html  et http://www.renaud-bray.com/Livres_Produit.aspx?id=1366752&def=Diable+de+Saint-Hyacinthe+%3a+T%c3%a9lesphore-Damien+Bouchard(Le)%2cGUTTMAN%2c+FRANK+M%2c9782897230937

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