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1 – Le long texte que voici est resté à l’état de brouillon — avancé, mais de brouillon quand même.
Je fais le choix de le diffuser sans avoir d’abord pris le temps — dont je ne dispose pas, de toute manière — de corriger les quelques erreurs de faits qui ont bien dû s’y glissser ici et là. Il y a trois raisons principales à cette décision. D’abord, repasser le texte à la loupe me prendrait un temps fou, que, comme je viens de le dire, je ne n’ai pas à ma disposition. Ensuite, parce que je n’ai aucune espèce d’envie de replonger dans le travail sur ce texte d’une longueur considérable qui m’en a déjà pris des masses. Enfin, parce que mon objectif, en le publiant en ligne, n’est pas de mettre de l’avant mes interprétations point-par-point mais plutôt d’offrir à ceux et à celles que la chose pourrait intéresser des pistes générales de réflexion. Le lecteur a donc, bien entendu, toute la latitude qu’il peut souhaiter pour effectuer les vérifications qui lui sembleront d’à-propos — je l’encourage même fortement à les entreprendre. Ne me croyez surtout pas sur parole ! Allez vérifier ! Tout ! Trois fois ! D’ailleurs, c’est ce que vous devriez faire pour toutes vos lectures. — J’ai eu dans ma vie à supporter bien assez de discours qui m’étaient imposés comme autant de dogmes pour m’avoir fait passer à jamais le goût d’en édicter à mon tour. Si la lecture des pages que voici, malgré leurs imperfections que je suis le premier à reconnaître, peut encourager une seule personne à creuser un peu l’histoire de cette société et des discours qui y sont dominants, et à fournir à ses concitoyens un éclairage différent de celui que les bonzes taredivélo-groulxiens claironnent depuis des éternités… mon but aura largement été atteint. — Quoi qu’il en soit, soyez donc prévenus : oui, il y a ici et là des erreurs dans les pages que vous allez lire. Mais aucune d’entre elles ne prête suffisamment à conséquence pour influer profondément sur mon exposé.
2- Je présente donc ici le texte dans l’état quasi intégral qui était le sien au moment où, en mars 2000, j’ai renoncé à l’achever. Par conséquent, on trouvera au fil de la lecture de nombreuses notes que j’y avais prises, destinées à me servir d’aide-mémoires et que je choisis de conserver aussi : elles sont indiquées dans le texte en gras et bleu clair. Nombre d’entre elles fourniront, je pense, au lecteur curieux de quoi s’occuper un bon moment. — De même, je conserve intact, sans la poncer ni m’excuser le moins du monde pour mes emportements de langage, l’expression de la furie — le mot n’est pas top fort — qui m’habitait à l’époque de ma vie où je travaillais sur Le Hobbit.
3- Les prochains chapitres seront rendus disponibles au fil des mois, au gré de mon agenda.
Sommaire et Liens
SOMMAIRE : cette page-ci
EXTRAIT DE MON JOURNAL (2008) : Notes (étonnées) à ma toute première relecture de l’ensemble
CHAPITRE I : Page-titre, Exergues, Dédicace et Avertissements
CHAPITRE II : Jean-Christophe (1ère partie) — nouvelle
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